La plasticité cérébrale

Le cerveau créé de nouvelles connexions neuronales et en supprime à tout instant. Il doit choisir quoi garder. C’est ce qu’on appelle la plasticité cérébrale.

Si on ne l’active pas régulièrement, une donnée a plus de chance d’être effacée !

Les 3 types de mémoires

La mémoire de travail ne dure que de quelques secondes à quelques minutes et ne peut contenir que peu de données. Elle collabore avec la mémoire à long terme pour mémoriser nos apprentissages. Plus une notion est sollicitée, plus elle sera bien mémorisée.

Les conséquences

• La bonne nouvelle, c’est qu’on peut apprendre à chaque instant et à tout âge car des connexions neuronales se créent tout au long de la vie.

Personne n’est nul en informatique, tout le monde peut progresser !

• La mauvaise nouvelle, c’est que le cerveau efface des données jugées moins utiles, même dans la mémoire à long terme.

Comprendre n’est donc pas mémoriser !

1- Il faut donc prendre des notes, mêmes sommaires, pour retrouver plus tard le chemin de ce que nous avions compris en cours ! Quelques mots ou un dessin suffisent à faire ressortir les informations stockées dans notre cerveau.

Même si une partie du souvenir s’est effacé, les notes permettent de s’y retrouver !

2- Il faut consolider les connaissances en les rappelant dans notre mémoire de travail. Le fait de les voir passer plusieurs fois dans un temps réduit les rend importantes pour le cerveau qui les conservera mieux et plus longtemps. C’est comme l’entraînement en sport ou en musique ! Le cerveau garde plus facilement ce qui a été vu au moins 2 fois dans la même journée.

Participer et répondre aux questions en cours réactivent les souvenirs et aident à mieux mémoriser.

Revoir le cours et les travaux pratiques dans les 24 heures, puis ensuite régulièrement, augmente grandement la mémorisation dans un temps plus long, par exemple en vue du CCF au mois de mai !